Bodegas Juan Gil cuvée 18 meses 2011
Jumilla
Espagne
19 euros
Passage de 2 heures en carafe avant le service
Assemblage de 60 % mourvèdre, 30 % cabernet sauvignon et de 10 % syrah. Vignes de 70 ans et plantées à 700 mètres d'altitude sur sol pauvre. Ecart thermique important entre le jour et la nuit, ce qui donne de faibles rendements et des raisins très concentrés. Macération et fermentation alcoolique de chaque cépage séparément en cuve inox. Fermentation malolactique et élevage de 18 mois en fûts de chêne français et américain. L'assemblage est réalisé avant un cours élevage en cuve inox avant l'embouteillage
Robe cerise, noire en son centre avec des larmes épaisses qui coulent lentement
Nez puissant, avec un côté chimique (comme du vernis à ongle), des fruits noirs compotés, de l'eucalyptus, de la vanille (sans doute due au toastage du chêne probablement neuf pour une partie)
Bouche qui rappelle le nez, riche, ample, charnue, charmeuse, persistante, mais avec une certaine fraîcheur, ente le menthol et l’eucalyptus présent au nez. Les tanins se fondent après le passage en carafe. Il y a aussi une espèce de sucrosité assez addictive
Note : 8/10 et 8,5/10 le lendemain. Le vin d'abord un peu alcooleux (15,5°) et "too much" bien qu'assez plaisant, s'est assagi le lendemain, et est devenu plus équilibré et vraiment très bon. Cela reste l'archétype de la bombe sudiste espagnole, très moderne et très séduisante, mais ça peut ne pas plaire à tout le monde. Passage en carafe indispensable
Dégusté avec des carbonnades flamandes, bel accord entre un plat et un vin au goût très affirmé
Le site du producteur
Jumilla
Espagne
19 euros
Passage de 2 heures en carafe avant le service
Assemblage de 60 % mourvèdre, 30 % cabernet sauvignon et de 10 % syrah. Vignes de 70 ans et plantées à 700 mètres d'altitude sur sol pauvre. Ecart thermique important entre le jour et la nuit, ce qui donne de faibles rendements et des raisins très concentrés. Macération et fermentation alcoolique de chaque cépage séparément en cuve inox. Fermentation malolactique et élevage de 18 mois en fûts de chêne français et américain. L'assemblage est réalisé avant un cours élevage en cuve inox avant l'embouteillage
Robe cerise, noire en son centre avec des larmes épaisses qui coulent lentement
Nez puissant, avec un côté chimique (comme du vernis à ongle), des fruits noirs compotés, de l'eucalyptus, de la vanille (sans doute due au toastage du chêne probablement neuf pour une partie)
Bouche qui rappelle le nez, riche, ample, charnue, charmeuse, persistante, mais avec une certaine fraîcheur, ente le menthol et l’eucalyptus présent au nez. Les tanins se fondent après le passage en carafe. Il y a aussi une espèce de sucrosité assez addictive
Note : 8/10 et 8,5/10 le lendemain. Le vin d'abord un peu alcooleux (15,5°) et "too much" bien qu'assez plaisant, s'est assagi le lendemain, et est devenu plus équilibré et vraiment très bon. Cela reste l'archétype de la bombe sudiste espagnole, très moderne et très séduisante, mais ça peut ne pas plaire à tout le monde. Passage en carafe indispensable
Dégusté avec des carbonnades flamandes, bel accord entre un plat et un vin au goût très affirmé
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